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fosfoetanolamina na cura do cancer

fosfoetanolamina na cura do cancer

CANCER e FOSFOETANOLAMINA

Uma cura que se conhece desde 1936, alguem saberia porque esse produto ainda não está no mercado?

A saga dos laboratórios e a escravidão do sistema para punir afinal “todos os atos bons não ficarão impunes”.

O Sistema trabalha apenas para se auto alimentar, olhe as noticias abaixo, se voce tiver um testemunho positivo pois já experimentou o produto, deixe sua mensagem.

http://globotv.globo.com/…/conheca-quem-e-o-curand…/4278568/

http://blumenews.com.br/…/curandeiro-de-pomerode-e-preso-e-…

http://www.bv.fapesp.br/…/avaliacao-das-propriedades-anti-…/

http://g1.globo.com/…/pacientes-pedem-na-justica-que-usp-fo…

Se voce prestar atenção, eles não estão realmente preocupados com a saude da população, estão apenas preocupados com os registros, afinal, afirmar que pode matar uma pessoa é fácil, quero ver se o que eles apresentam como cura, pode realmente curar, mas é comprovado que o que a ANVISA autorizou a produzir, ou aplicar, como Quimioterapia, ou os remédios, isso mata, mas tem registro legal para fazer isso.

No momento não temos como ajudá-lo, mas vamos orar por ele, e se preciso for, uma manifestação na cidade para chamar a atenção do mundo.

um pouco de História sobre o Produto.

História

Outhouse em 1936 isolou a fosfoetanolamina de tumores malignos bovinos, fornecentdo a primeira existência deste composto livre na natureza, e após este trabalho, outros pesquisadores Outhouse E.L. (Biochem J. v. 30, p. 197-201, 1936) encontraram a fosfoetanolamina em intestinos de ratos e em tecidos cerebrais de bovinos.

Cherbuliez e colaboradores em 1970 sintetizaram, caracterizaram e analisaram o comportamento químico de muitos ésteres fosfóricos, publicando trabalhos sobre o tema. A síntese descrita por estes pesquisadores envolveu inúmeras etapas, eles encontraram subprodutos.

Mal de Alzheimer[editar | editar código-fonte]
Inúmeras pesquisas demonstram a sua relação com a variação da concentração da fosfoetanolamina em doentes de Alzheimer, Isquemia, Epilepsia, e Câncer.

A USP através de seus pesquisadores conseguiu sintetizar esse produto para a cura do Cancer, fazem mais de 20 anos e nunca chegará ao mercado.
É importante salientar que a fosfoetanolamina apenas atua no organismo como sinalizador mostrando e colocando como que umas etiquetas para que o sistema imunológico possa atacar as células doentes e distrui-las..associado á toma deste medicamento é imperativo complementar com uma dieta para fortalecer o as defesas do organismo, aconselhando se a toma de vitamina A D E diariamente, exposição Solar, desintoxicação do figado e dos restantes orgãos que vão lutar no combate á doença atraves da eliminação completa de alimentos e agentes agressores e que vão acidificar o organismo como chá, café, tabaco, bebidas alcoólicas, açúcar, gorduras saturadas, produtos de origem animal, sendo a dieta vegana/crudivora a mais prescrita produtos transgénicos (que também vão alterar os orgãos com mutações…já comprovado)
outras coisas  a evitar é todo o contato com radiações proximidade a postes de alta tensão, comida no micro ondas, 4g…
Estamos neste momento a criar um grupo de apoio para colocar um ação judicial para liberar o medicamento..tendo já algum resultado..para mais info entre em contato para esse mail hilx@graphicenter.pt

poderá ver ainda inumeros testemunhos da cura como eu proprio assisti

 


Drogues

Drogues

La dépendance aux drogues dures est présentée comme une sorte de maladie qui frappe des victimes innocentes, à la manière de l’arthrite par exemple.

Victimes des dealers, les consommateurs de drogue qui souhaiteraient arrêter seraient obligés d’endurer d’intenses souffrances au moment du sevrage.

Il s’agirait donc d’une sorte de maladie, relevant de la médecine.

Mais je pense que c’est un mythe qui fait beaucoup de tort aux drogués, car :

  1. cela leur fournit une sorte d’excuse, une « bonne raison » de rester dans leur état ;
  2. ce qui est encore pire, on occulte la vérité sur l’addiction aux drogues, ce qui empêche de prendre des mesures adaptées pour prévenir leur usage et aider les personnes dépendantes à s’arrêter.

Les dangers du delirium tremens

Commençons par détruire le mythe selon lequel le sevrage serait une phase redoutable, horriblement douloureuse, qui expliquerait pourquoi les drogués ne peuvent sortir de leur état sans aide médicale.

Les scènes épouvantables décrites dans les romans et les films sur les personnes privées de drogue sont des inventions. Elles sont en fait inspirées par le sevrage de l’alcoolisme.

Le sevrage de l’alcoolisme provoque le delirium tremens, un état d’agitation avec fièvre, tremblements des membres, cauchemars et troubles de la conscience, qui survient chez 5 à 10 % des alcooliques, causant 15 % de mortalité avec traitement, et 35 % sans traitement [1].

C’est donc un problème gravissime. Il est absolument vital que l’alcoolique se fasse aider par un médecin.

Mais rien d’équivalent n’existe pour le sevrage des drogues comme le cannabis, la cocaïne et le LSD.

Vous pouvez vous-même vous en apercevoir lorsque vous lisez par exemple l’article suivant sur le sevrage de la cocaïne [2], ou celui-ci [3], ou encore dans l’article Wikipédia consacré au sevrage [4] : à chaque fois, on vous explique que le sevrage est très difficile, mais on ne vous décrit que des sensations particulières comme un état de malaise, de fatigue, d’anxiété, d’agitation, etc.

C’est parce qu’il n’y a pas de symptômes physiques dangereux semblables à ceux provoqués par le delirium tremens.

Le cas particulier de l’héroïne

L’héroïne est la seule drogue courante provoquant une phase de sevrage difficile (sans pour autant être dangereuse ni nécessiter de prise en charge médicale).

Le sevrage provoque un malaise ressemblant à une grippe, mais sans fièvre. Pour être très précis, les symptômes sont les suivants :

  • Douze heures environ après la dernière administration d’héroïne surviennent des bâillements, des larmoiements, de la rhinorée (nez qui coule), des sueurs et de l’anxiété.
  • Dans les 24 heures, le drogué a des crampes, des courbatures, il est irritable, nauséeux, tout en ayant du mal à dormir.
  • Vers le troisième jour, se déclenchent des problèmes digestifs (vomissements, diarrhée), le cœur bat plus fort et la pression sanguine augmente. Ensuite, les symptômes régressent et s’effacent environ au bout de huit jours.

Dans nos pays, la vie des héroïnomanes n’est jamais menacée par cette période de sevrage, certes pas très agréable, mais sans caractère de gravité particulier [5].

Alors, pourquoi est-il si difficile pour un drogué de s’arrêter ?

Eh bien, pour de très bonnes raisons, mais qui n’ont rien à voir avec la médecine et l’accoutumance physique.

La drogue facilite énormément la vie – en apparence

S’il est si difficile de convaincre un drogué d’arrêter, c’est parce que la drogue lui facilite énormément la vie – en apparence du moins.

Les médias parlent souvent, actuellement, des effets des drogues contre les douleurs physiques. Il est vrai que le cannabis est efficace dans ce domaine. L’Allemagne vient d’ailleurs d’autoriser sa culture et son usage comme anti-douleur [6]. L’héroïne aussi a un fort effet anti-douleur : elle est extraite de l’opium, tout comme la morphine couramment utilisée dans les hôpitaux et en soins palliatifs.

Mais les vraies raisons du succès des drogues dans notre société est qu’elles procurent un soulagement immédiat des douleursmorales : si vous vous sentez seul, moche, idiot, raté, prenez du cannabis, du LSD, de la cocaïne ou de l’héroïne, et vous vous sentirez à nouveau bien dans votre peau. Vous verrez la vie en rose.

La cocaïne en particulier vous donne l’impression d’être en superforme et capable de tout. Les braqueurs en prennent avant de faire un casse. Les stars du rocks et de la télé avant de monter sur scène. Dans les rave-parties, elles permettent aux « teufeurs » de sauter pendant une nuit et un jour sans dormir.

Ainsi, une personne qui ne connaît dans la vie que des échecs (échec scolaire, échecs sentimentaux, échecs professionnels…) pourra éprouver, grâce à la drogue, le sentiment de fierté, de bien-être et même de jubilation que l’on n’éprouve normalement qu’après avoir réalisé un exploit. La drogue permet de « faire la fête » même quand on n’a aucune raison de faire la fête (et qu’on aurait plutôt des raisons de se remettre en question).

Ce sentiment de fierté et de bonheur est indispensable à l’être humain. Sans lui, vous perdez votre envie de vivre. C’est pourquoi l’on parle de « dépendance psychologique » à la drogue, un phénomène qui est d’autant plus puissant que la personne est en difficulté dans la vie.

La spirale infernale

Les drogues permettent aux gens d’éviter de faire face aux défis de l’existence. Elles incitent le consommateur régulier à la passivité, au laisser-aller, à devenir indifférent à ses propres problèmes.

L’élève en échec scolaire échouera de façon encore plus certaine à ses examens. La personne seule verra ses chances de rencontrer l’âme sœur se réduire encore. Comme elles coûtent cher, la personne qui connaissait déjà des difficultés professionnelles et financières avant de découvrir cette solution « miracle » verra ses problèmes s’aggraver, et ce d’autant plus qu’il faut augmenter constamment les doses pour obtenir le même résultat.

Les conséquences humaines et sociales des drogues sont donc catastrophiques, allant jusqu’au divorce, à la clochardisation, et à la mort.

Tandis que les difficultés s’amoncellent dans la vie du drogué, la drogue lui fournit une échappatoire toujours plus nécessaire, pour fuir une réalité de plus en plus effrayante.

Et c’est pourquoi, lorsque vous rencontrez un drogué arrivé à un stade avancé, sa « vraie vie » est dans un tel état de délabrement qu’il est extrêmement difficile de le convaincre d’arrêter la drogue. Il ne désire tout simplement plus vivre dans le monde réel. Et on peut le comprendre.

C’est donc une spirale infernale. (la suite ci-dessous)

Annonce spéciale

L’art de se soigner par les plantes

Les infusions de carvi ou d’anis étoilé sont très efficaces contre le mal au ventre ; l’huile essentielle de gaulthérie couchée remplace efficacement un anti-inflammatoire non-stéridien ; l’ail et et les feuilles d’olivier modulent l’hypertension artérielle… Retrouvez tous les conseils pour vous soigner efficacement et naturellement grâce aux plantes à découvrir ici.


Suite de la lettre de ce jour :

Comment aider un drogué

Pour aider un drogué à arrêter, il faut d’abord le convaincre qu’affronter les problèmes de la vie réelle vaut la peine. C’est donc tout un travail sur le sens de la vie (pourquoi vivre, pour quoi vivre ?) qu’il faut entreprendre avec lui.

Il va falloir trouver des réponses aux (difficiles) questions suivantes :

Pourquoi accepter le malheur ? Pourquoi accepter la souffrance ? Comment surmonter les déceptions ? Pourquoi s’accepter comme on est, avec ses limites, ses défauts ? Comment transformer l’échec en une épreuve qui m’aide à progresser ? Pourquoi s’obliger à faire des efforts pour réussir ?

Inutile de vous dire que c’est un sacré problème, quand le drogué sait qu’il est si facile de trouver la même satisfaction en se roulant un joint, en sniffant un rail de coke, ou en se faisant une petite injection.

Trouver les arguments qui portent demande toute une réflexion sur la vie, mais aussi des mois, des années de présence, de discussions et d’activités avec le drogué. Lui faire découvrir la satisfaction du travail bien fait, le bonheur de l’amitié, de l’amour avec une vraie personne (et plus avec son joint ou sa seringue), les beautés du monde, de l’art, de la nature, d’une femme, d’un enfant…

Cet accompagnement ne peut donc se faire sans une solide démarche philosophique, ou même une forte spiritualité. Et il suppose, suprême difficulté, que la personne qui aide le drogué ait elle-même trouvé une certaine forme de bonheur dans une vie sans drogue, sans quoi le drogué en déduira que tous ses conseils ne sont que de beaux discours, utopiques, inapplicables…

De plus, le danger ne sera jamais écarté définitivement. Il suffit d’un coup de fatigue, d’une déception, d’une infection, d’une mauvaise nuit, d’une mauvaise rencontre… et la tentation de retomber dans la drogue resurgira.

« Grâce au cannabis, je me sens bien, même, et surtout, si tout déraille dans mon existence »

Dans les fascicules distribués dans les écoles, on met en garde les enfants en leur expliquant que les drogues peuvent entraîner une dépendance « dès la première utilisation ».

Ce n’est pas que leur corps prenne tout de suite l’habitude de la drogue au point d’en avoir à nouveau besoin physiquement. Comme on l’a vu, il n’y a pas de véritable dépendance physique pour la plupart des drogues.

Le problème, c’est que les adolescents, par nature fragiles, sont nombreux actuellement à mener des vies difficiles. Ils sont confrontés à une grande violence dans de nombreux quartiers, collèges, dans les transports en commun, dans des familles déchirées, avec comme horizon le spectre du chômage massif et un environnement profondément dégradé.

Le jour où ils découvrent qu’ils peuvent échapper à tout cela grâce à la « fumette » (ou autres drogues), il devient très difficile de les persuader que cela vaut la peine pour eux de rester dans le monde réel et trouver leur bonheur en relevant des défis.

« Grâce au cannabis, je me sens bien, même, et surtout, si tout déraille dans mon existence. » Plus besoin d’escalader une montagne, de gagner une course, ou un combat de boxe ; plus besoin de se former à un métier qui leur plait ; plus besoin de réussir leurs études ; plus besoin de devenir virtuose au piano ; plus besoin de trouver un petit ami ou une petite amie qui leur plaise vraiment ; plus besoin d’avoir un projet de vie.

Et c’est pourquoi il est bon de dire aux jeunes de ne jamais, jamais, essayer. Même une fois. Même pour s’amuser.

Mais il faut, et c’est encore plus vital, leur montrer qu’il existe une autre voie qui leur apportera plus de bonheur que les paradis artificiels. C’est cela qui est difficile. C’est cela que nous faisons très mal.

Et c’est là que les brochures qu’on leur distribue dans les écoles ne donnent jamais aucune solution crédible.

Un parallèle osé avec les « médocs »

Cela peut choquer mais, pour moi, bien des médicaments sont, comme la drogue, un moyen d’échapper à la dure réalité de la vie.

En français, nous distinguons les mots « drogue » et « médicament », mais ce n’est pas le cas en anglais, où les deux mots se disent « drug ».

Imaginez que les médecins francophones prennent l’habitude de dire à leurs patients :

« Cher Monsieur, chère Madame,

Je vois que vous mangez trop de sucre et que vous fumez trop. Vous êtes en train d’attraper le diabète et de détruire vos artères.

Vous avez deux solutions :

La première, c’est d’adopter un mode de vie sain, mieux manger et arrêter de fumer. Abonnez-vous à Santé Nature Innovation pour recevoir des conseils gratuits dans ce domaine.

La seconde, c’est de vous droguer pour que vous puissiez en toute tranquillité oublier votre état de santé réel. Vous pourrez continuer à vivre comme avant. Les drogues feront disparaître les signes de votre maladie. Vous ne risquez pas de vous faire arrêter par la police car ces drogues sont autorisées par l’Etat. Elles sont même remboursées par la Sécurité Sociale ! Vous ne débourserez donc pas un sou. Par contre, la maladie continuera de progresser silencieusement. Les drogues provoqueront des déséquilibres physiologiques qui déclencheront d’autres maladies. Votre risque d’hospitalisation et de décès augmentera. Et plus vous vous droguerez, plus il sera difficile de revenir à un mode de vie sain. À vrai dire, vous atteindrez rapidement le point où il sera trop tard pour revenir en arrière.

Alors, que choisissez-vous ? »

À votre santé !

font: Jean-Marc Dupuis  www.santenatureinnovation.com


Os aviões produzem contrails. O que é o Contrail? A palavra “contrail” resulta da junção das palavras “Condensation” e “Trail” e significa “rasto de condensação”. Libertados por aviões comerciais normais, estes rastos resultam das diferenças de temperatura dos gases emitidos pelas turbinas e desaparecem segundos depois da sua formação, acompanhando o percurso do avião e, só se formam, sob certas condições:
• Altura superior a 8.000 metros
• Humidade relativa igual ou superior a 70%
• Temperatura inferior a – 40º C

A palavra “chemtrail” resulta da junção das palavras “chemical” e “Trail”, que significa “rasto químico”. Os Chemtrails são criados intencionalmente, sendo formados por toxinas e metais pesados, dispersos deliberadamente com uma intenção através de aviões preparados para o efeito. Aparecem em altitudes inferiores onde a temperatura não chega a esses mínimos e, permanecem ali durante horas no céu. Qualquer rasto de avião que permaneça mais de 1 ou 2 minutos na atmosfera poderá ser considerado como Chemtrail.

Os produtos tóxicos constituídos e designados para a criação de nuvens artificiais são encontrados nos testes atualmente realizados em laboratórios com amostras provenientes das zonas afetadas pelos Chemtrails.

Os Chemtrails contêm metais pesados e outras substâncias prejudiciais para os seres humanos, animais e plantas; frequentemente peixes e pássaros apareceram mortos em grandes quantidades (envenenamento através de Chemtrails).

As partículas de metais e outros componentes dos Chemtrails quando inalados por um ser vivo alojam-se rapidamente nos pulmões, tendo consequências graves para a saúde. O relatório divulgado a 3 de fevereiro de 2011 e realizado por Ilya Sandra Perlingieri, demonstra o dramático aumento de metais pesados na atmosfera, sendo que estes não são elementos naturais da mesma.

Vários cientistas já confirmaram que está a ser utilizada uma mistura de sais de bário com fibras de polímero e outros produtos químicos que quando dispersos na atmosfera resultam numa aplicação utilizada para a propagação de ondas rádio eletromagnéticas, sendo direta e indiretamente responsáveis por vários sintomas que surgem no corpo humano, independentemente da faixa etária.

Outro relatório também regista o aparecimento de um cocktail de combustível do tipo JP8 + 100, misturado com 1,2-dibromoetano. Este pesticida químico foi banido em 1983 pela Agência para a Proteção do Ambiente dos EUA (EPA) sendo identificado como uma toxina química e substância cancerígena. Frequentemente são avistadas zonas coloridas no céu, formadas por 1,2-Dibromoetano, também conhecido como brometo de etileno.

Os Chemtrails com Dibromoetano são altamente tóxicos para a saúde.


O Parlamento Europeu, em Bruxelas, recebe nesta Quarta-feira uma conferência para relançar o debate sobre a protecção do Domingo.

O encontro é organizado pelos deputados Thomas Mann (Partido Popular Europeu) e Patrizia Toia (Aliança Progressista dos Socialistas e Democratas) e pela Fundação Konrad Adenauer. A iniciativa é apoiada por sindicatos europeus, organizações da sociedade civil e Comissão das Conferências Episcopais da União Europeia (COMECE).

A sessão, que ocorrerá entre as 15h30 e 18h30 (hora continental portuguesa), contará com as intervenções do novo comissário do Emprego e Assuntos Sociais, László Andor, bem como de especialistas e deputados.

A Comissão Europeia deverá apresentar proximamente um novo projecto de directiva referente ao tempo de trabalho. Na sua versão original (1993), o documento referia que o Domingo seria, “em princípio”, o dia de repouso semanal.

A menção foi retirada em 1996 pelo Tribunal de Justiça Europeu porque o legislador não provou o nexo entre o dia de descanso e a protecção da saúde dos trabalhadores.

A COMECE defende que um dia de repouso semanal comum a toda a sociedade permite que as famílias se encontrem e que os cidadãos se dediquem a actividades culturais, espirituais e sociais.

O Domingo, acrescenta a Comissão das Conferências Episcopais, permite manter a coesão das sociedades, sendo por isso “um elemento precioso que convém reabilitar como pilar do modelo social europeu”.

fonte: http://www.agencia.ecclesia.pt/cgi-bin/noticia.pl?id=78171  (agencia de notícias católica)


Apesar do programa americano PRISM, de monitoramento de dados eletrônicos, ter causado indignação na Europa, uma reportagem publicada na edição desta sexta-feira do jornal Le Monde mostra que a França também utiliza práticas semelhantes em nome da luta contra o terrorismo.

Bernard Bajolet, chefe da DGSE, Direção Geral da Segurança Externa AFP PHOTO BERTRAND LANGLOIS

Bernard Bajolet, chefe da DGSE, Direção Geral da Segurança Externa
AFP PHOTO BERTRAND LANGLOIS

A reportagem do jornal francês revela que a Direção Geral da Segurança Externa (DGSE), a agência de inteligência francesa, intercepta e estoca sinais eletromagnéticos emitidos por computadores e telefones, no país e no exterior. Isso inclui e-mails, mensagens para celular, ligações e acessos ao Twitter e ao Facebook. Tais sinais são captados por satélites espiões e cabos submarinos de fibra ótica. O programa, similar ao americano PRISM revelado por Edward Snowden, foi batizado de “Big Brother francês”.

Esses dados, depois de coletados, permanecem anos em poder das autoridades francesas, o que em princípio, é totalmente ilegal. Eles são estocados em um supercomputador instalado no subsolo da sede da DGSE no Boulevard Mortier, em Paris, onde estão à disposição para consulta dos serviços de inteligência.

Batizada com o sugestivo nome de “nfraestrutura de mutualização”, esta imensa base de dados é utilizada para traçar as atividades on-line de um suspeito potencial. Os metadados são então analisados e podem revelar muitas vezes os caminhos utilizados por redes criminosas ou terroristas. Não se tratam de mensagens propriamente ditas, mas de gráficos que trazem informações preciosas para os especialistas capazes de decifrá-las. Em seguida, cabe aos serviços secretos a decisão de utilizar outros métodos, como grampos telefônicos, para obter outras informações.

Aparato é ilegal, diz comissão

O aparato seria totalmente ilegal, segundo a Comissão Nacional de Informática e Liberdade, órgão francês encarregado de fiscalizar o respeito à privacidade, aos direitos humanos e às liberdades individuais na Internet. Segundo a legislação francesa, uma possível interceptação de informação deve ser autorizada pelo primeiro-ministro e uma comissão destinada a esse tipo de questão.

O governo francês contesta as conclusões da reportagem do Le Monde, e afirma que os dados técnicos não são coletados pelos serviços secretos, mas pelo grupo interministerial de controle. Essas práticas também estão previstas na lei francesa. Depois de serem utilizados os dados são destruídos, de acordo com Jean-Jacques Urvoas, membro da delegação parlamentar do Serviço de Inteligência francês.

Fonte: http://www.portugues.rfi.fr